Depuis votre arrivée

0

emballages ont été lavés par ETERNITY Systems

Cradle to Cradle : la certification qui valorise les produits durables  

La certification Cradle to Cradle est un écolabel international qui évalue les produits selon les principes de l’économie circulaire. Elle vise à garantir que chaque produit ait un impact environnemental limité tout au long de son cycle de vie. Ce label vise principalement à réduire les déchets et à favoriser la réutilisation des matériaux dans les secteurs industriels.

Le label Cradle to Cradle permet ainsi aux entreprises de prouver leurs engagements en matière de responsabilité environnementale. Accès au label, critères d’attribution, bénéfices pour les entreprises labellisés, ETERNITY Systems vous explique tout ce qu’il faut savoir sur le Cradle to Cradle

 

La certification Cradle to Cradle en résumé 

  • Cradle to Cradle, ou C2C, est une certification internationale en quatre niveaux qui évalue les produits selon les principes de l’économie circulaire, avec comme objectif final de supprimer la notion de déchet.
  • Le label repose sur deux cycles complémentaires : le cycle biologique, qui permet aux matières organiques de retourner dans la nature, et le cycle technique, qui assure la réutilisation infinie des matériaux industriels.
  • La certification est attribuée en fonction de cinq critères : santé des matériaux, circularité, empreinte carbone, gestion de l’eau et du sol, et équité sociale.
  • Les bénéfices sont multiples pour les entreprises : réduction de l’impact environnemental, valorisation de l’image de marque, avantage concurrentiel, et contribution concrète à une économie circulaire. 

Alt : Cradle to Cradle est une certification internationale pour les produits selon l’économie circulaire

 

Qu’est-ce que le Cradle to Cradle ? 

Cradle to Cradle, en français « du berceau au berceau », est un concept créé en 2002 par Michael Braungart et William McDonough, selon lequel tout produit doit être pensé pour avoir plusieurs vies. Il vise une circularité complète, où chaque produit est conçu dès l’origine pour être réutilisé, recyclé ou transformé sans pour autant perdre en qualité.

Contrairement au recyclage classique, l’objectif du Cradle to Cradle n’est plus seulement de limiter l’impact environnemental, mais de le rendre positif en transformant les déchets en ressources et en intégrant des pratiques éco-conception. C’est la philosophie du 0 pollution, 100 % de réutilisation. 

Cette certification, gérée par le Cradle to Cradle Products Innovation Institute depuis 2010, impose une logique d’économie circulaire qui engage les entreprises à : 

  • Utiliser des matériaux sûrs pour la santé et l’environnement.
  • Réduire les émissions de gaz à effet de serre.
  • Concevoir les produits de manière à pouvoir démonter, recycler ou réemployer chaque élément.

Ces principes du Cradle to Cradle entrent en résonance avec les futures exigences européennes du Packaging and Packaging Waste Regulation, qui visent à encadrer la conception et la fin de vie des emballages sur le marché intérieur de l’UE.

Ainsi, chaque étape du cycle de vie devient une opportunité de créer de la valeur plutôt qu’un facteur de pollution. Cette logique rejoint les objectifs de la loi AGEC en France, qui incite les entreprises à renforcer le réemploi et à mieux gérer leurs emballages dans une perspective d’économie circulaire.

Quels sont les 2 cycles du Cradle to Cradle ? 

Le Cradle to Cradle prend en compte deux aspects pour évaluer si un produit est conçu dans une logique de circularité et de respect de l’environnement : le cycle biologique et le cycle technique. 

  • Le cycle biologique concerne les matériaux organiques, comme les déchets alimentaires ou les résidus végétaux. Ils sont conçus pour être réintroduits naturellement dans l’environnement, grâce, par exemple, au compostage.
  • Le cycle technique s’applique aux matériaux non organiques, tels que les métaux ou les plastiques. Ces éléments sont pensés pour être réutilisés à l’infini dans la fabrication de nouveaux produits, garantissant une circularité continue des ressources.

Quelle est la différence entre Cradle to Grave et Cradle to Cradle ?

Le Cradle to Grave suit un modèle linéaire qui conduit les produits à devenir des déchets, sans considération pour l’environnement et sans vision de réutilisation, tandis que le Cradle to Cradle instaure un cycle circulaire où chaque ressource est réutilisée.

  • Le modèle Cradle to Grave (« du berceau à la tombe ») correspond au schéma classique de l’économie linéaire : extraire, produire, consommer puis jeter. Ce fonctionnement épuise les ressources naturelles et génère des déchets sans réelle perspective de réutilisation.
  • Le Cradle to Cradle (« du berceau au berceau »), à l’inverse, repose sur une logique circulaire où chaque produit est conçu pour être recyclé, régénéré ou transformé indéfiniment. Les déchets deviennent des matières premières, les matériaux restent réutilisables. L’objectif final est une production durable, sans pollution, et sans perte de valeur.

Pour évaluer si un produit est conçu de manière circulaire, on évalue deux types de cycles

Quels sont les 5 critères à remplir pour être certifié Cradle to Cradle ?

La mention « Cradle to Cradle Certified® » est délivrée aux produits selon 5 critères : santé des matériaux, circularité des produits, utilisation d’énergies renouvelables et gestion du carbone, gestion responsable de l’eau et du sol, et équité sociale.

  • Santé des matériaux : il s’agit d’éliminer les substances toxiques et de privilégier des composants sûrs pour la santé humaine et pour l’environnement.
  • Circularité des produits : il s’agit de concevoir chaque élément d’un produit pour qu’il puisse être démonté, réutilisé ou recyclé dans de nouveaux cycles de production.
  • Énergies renouvelables et carbone : il s’agit de réduire les émissions de gaz à effet de serre en favorisant l’usage d’énergies propres et une production bas carbone.
  • Gestion de l’eau et du sol : il s’agit de garantir une utilisation responsable des ressources en eau et de limiter les rejets polluants afin de préserver les écosystèmes.
  • Équité sociale : il s’agit de respecter les droits humains, d’assurer des conditions de travail sûres et équitables, et de contribuer positivement aux communautés locales.

La certification Cradle to Cradle est évaluée selon 5 critères

 

Quels sont les 4 niveaux de certification du C2C ? 

Le niveau de certification Cradle to Cradle comporte 4 niveaux de certification Bronze, Argent (Silver), Or (Gold), et Platine (Platinum) – décernés pour encourager les entreprises à progresser vers l’excellence en matière de durabilité. 

Chaque produit est évalué selon les cinq critères du C2C, et un score est attribué pour chaque critère, déterminant le niveau global atteint pour tendre vers une version optimale du produit.

  • Bronze : il s’agit du premier niveau de conformité. Les substances les plus dangereuses sont éliminées, la consommation d’énergie et d’eau est mesurée, et un plan d’action social de base est mis en place pour initier la démarche. Par exemple, un fabricant de peinture supprime les pigments toxiques et met en place un suivi de ses consommations.
  • Argent (Silver) : ce deuxième niveau traduit une progression vers de meilleures pratiques. Les matériaux utilisés sont plus sûrs, une part significative d’énergie renouvelable est intégrée dans la production, et un audit social externe vient vérifier le respect des engagements. Par exemple, une marque textile introduit du coton certifié biologique et alimente partiellement sa production en énergie solaire.
  • Or (Gold) : ce troisième niveau marque l’atteinte de standards élevés. Les matériaux sont en grande majorité sûrs et recyclables, la production repose principalement sur des énergies renouvelables, l’eau est traitée afin de réduire les rejets polluants, et la chaîne d’approvisionnement respecte des normes sociales renforcées. Par exemple, un fabricant d’emballages alimentaires utilise uniquement du plastique recyclable et alimente ses usines avec 80 % d’énergies renouvelables.
  • Platine (Platinum) : ce niveau d’excellence représente l’objectif ultime. Tous les matériaux sont non toxiques et sont conçus pour être circulaires, la production fonctionne exclusivement à partir d’énergies renouvelables (ou totalement compensées), les eaux usées sont épurées jusqu’à atteindre une qualité potable, et la conformité sociale est garantie par un organisme de contrôle indépendant. Par exemple, une entreprise de mobilier fabrique ses produits à partir de bois issu de forêts gérées durablement, fonctionne uniquement avec de l’énergie éolienne, et garantit une traçabilité sociale complète sur toute sa chaîne d’approvisionnement.

Le Cradle to Cradle comporte 4 niveaux de certification, de Bronze à Platine

Quels sont les avantages du Cradle to Cradle ? 

Il existe plusieurs avantages pour une entreprise d’être labellisée Cradle to Cradle : 

  • Respect de l’environnement et de la santé humaine : les produits sont conçus sans substances toxiques (non toxicité), ce qui réduit les risques pour les utilisateurs et les écosystèmes.
  • Amélioration de l’image de marque : la certification valorise l’entreprise auprès des clients et des partenaires en affichant un engagement concret pour la durabilité.
  • Engagement sur toute la chaîne de production : chaque étape, de la conception à la fin de vie, est repensée pour limiter les impacts et favoriser la circularité.
  • Engagement au-delà du recyclage classique : les produits sont conçus pour être réutilisés indéfiniment, et non simplement pour limiter les déchets.
  • Avantage compétitif : être certifié Cradle to Cradle différencie l’entreprise sur son marché et peut renforcer son attractivité face à la concurrence.
  • Réutilisation des matières premières : les composants sont intégrés dans de nouveaux cycles de production, réduisant la dépendance aux ressources vierges.

Il existe néanmoins certaines limites au Cradle to Cradle, liées aux coûts et à sa faisabilité pour certains produits. En effet, la mise en conformité avec la certification demande souvent des coûts plus élevés, car il faut adapter les matériaux et les procédés de fabrication. D’autre part, certains produits trop complexes, faits de matériaux collés ou assemblés de manière indissociable, ne peuvent pas être réintroduits dans un cycle circulaire, et ne sont donc pas éligibles à la certification.

Quelles étapes mettre en œuvre pour obtenir le label Cradle to Cradle ? 

L’obtention de la certification Cradle to Cradle Certified® repose sur un processus qui se déroule en 7 étapes :

  • Vérifier l’éligibilité du produit,
  • Choisir un organisme d’évaluation indépendant,
  • Collecter les données importantes,
  • Évaluation et rédaction d’un rapport,
  • Soumettre la demande officielle,
  • Recevoir la certification et la valoriser,
  • Renouveler la certification.

Étape 1 – Vérifier l’éligibilité du produit 

La première étape consiste à analyser la composition du produit. Il doit être exempt de substances interdites (toxiques ou dangereuses) et intégrer, dès la conception, une démarche d’amélioration continue. Cette vérification permet de s’assurer que le produit peut réellement entrer dans une logique circulaire.

Étape 2 – Sélectionner un organisme d’évaluation indépendant

L’Institut du Cradle to Cradle met à disposition une liste officielle d’organismes agréés qui deviennent l’intermédiaire principal qui guidera l’évaluation du produit. L’entreprise doit choisir l’un d’entre eux, définir un plan de certification, anticiper les coûts, le calendrier, et les ressources nécessaires. 

Étape 3 – Collecter les données importantes 

Avec l’appui de l’organisme, l’entreprise rassemble toutes les informations sur les matériaux, le processus de fabrication et la chaîne d’approvisionnement. Cette collecte est cruciale, car elle permet de vérifier la traçabilité et de mesurer la performance environnementale et sociale du produit. Des visites de site sont également organisées pour contrôler la conformité sur le terrain.

Étape 4 – Évaluation et rapport officiel 

L’organisme d’évaluation analyse les données collectées selon les standards du C2C et rédige un rapport détaillé. Celui-ci résume les résultats, les points de conformité et les axes d’amélioration. Le rapport est ensuite transmis à l’Institut, qui prend la décision finale.

Étape 5 – Envoi de la demande officielle 

Le dossier complet est envoyé au Cradle to Cradle Products Innovation Institute accompagné des frais de candidature et des frais annuels de certification. Ces coûts couvrent la gestion administrative et la reconnaissance officielle du produit.

Étape 6 – Certification et valorisation 

Une fois validée, l’entreprise obtient le label Cradle to Cradle Certified® au niveau correspondant (Bronze, Silver, Gold ou Platinum). Cette certification devient un outil qui peut être intégré dans la communication marketing, les supports commerciaux, et la politique RSE pour valoriser la démarche auprès des clients et partenaires.

Étape 7 – Renouvellement de la certification 

Le label Cradle to Cradle Certified® a une durée de validité de 2 ans. Six mois avant son expiration, l’entreprise doit préparer un nouveau dossier avec l’organisme d’évaluation, démontrer ses progrès en matière de circularité et régler les frais de renouvellement. Cette étape assure une amélioration continue et évite toute perte de certification.

 

Le Cradle to Cradle illustre une nouvelle manière de concevoir les produits, où chaque ressource garde sa valeur et s’intègre dans un cycle de réutilisation. Cette certification apporte des réponses concrètes aux enjeux actuels : réduction des déchets, préservation des ressources et alignement avec les attentes croissantes en matière de durabilité.

Dans cette même logique d’économie circulaire, ETERNITY Systems développe des solutions qui favorisent le réemploi des emballages et la réduction des déchets. Une démarche complémentaire qui s’inscrit dans la volonté d’accompagner les entreprises vers des pratiques de développement durable et responsable.

FAQ 

Que garantit le label Cradle to Cradle ?

Le label Cradle to Cradle assure qu’un produit est conçu selon les principes de l’économie circulaire : 

  • Matériaux sûrs pour la santé et l’environnement,
  • Capacité à être recyclés ou réutilisés,
  • Recours aux énergies renouvelables,
  • Gestion responsable de l’eau,
  • Respect de critères sociaux.

Quel est le coût de la certification Cradle to Cradle ?

Le coût d’inscription se situe autour de 3.000 à 3.500 €, variant en fonction du type de produit et de la taille de l’entreprise. À cela, s’ajoutent les honoraires de l’organisme d’évaluation indépendant et les frais de renouvellement tous les deux ans qui s’élèvent à environ 1750 euros

Qui est l’organisme certificateur du Cradle to Cradle ?

La certification C2C est délivrée par le Cradle to Cradle Products Innovation Institute (C2CPII), un organisme à but non-lucratif indépendant basé aux États-Unis. Quant aux évaluations, elles sont réalisées par des organismes tiers agréés, qui collectent les données, vérifient la conformité et transmettent un rapport complet à l’Institut. 

Comment se distingue le label Cradle to Cradle des autres certifications environnementales ?

Le Cradle to Cradle est une certification produit, reconnue comme type I selon la norme ISO 14024. Cela signifie qu’elle repose sur un audit externe et indépendant, contrairement à d’autres démarches centrées sur l’entreprise (comme ISO 14001) ou sur une simple déclaration environnementale (type III – EPD). Sa particularité est aussi d’attribuer un niveau de performance (Bronze, Silver, Gold, Platinum) qui reflète le degré d’engagement dans l’économie circulaire.

Revue de presse ETERNITY Systems (OCTOBRE – DECEMBRE 2023)

Retour sur les articles citant l’activité de l’entreprise, parus dans les médias lors du denier trimestre de l’année 2023.

ETERNITY Systems sur la carte nationale du réemploi

Tout d’abord, Restauration 21 met en lumière la cartographie réalisée par l’ADEME concernant les différents centre de lavage industriel mutualisé d’emballages en France (métropole et outre-mer). Ainsi, les visiteurs pourront retrouver la localisation des 4 centres de lavages d’ETERNITY Systems sur le territoire français.

La Semaine du Roussillon évoque le partenariat mis en place avec Re-Uz, en se focalisant sur les ambition des nos deux entreprises. Il est notamment repris l’objectif principale qui est de proposer “« une offre complète, écologique et économique aux collectivités, entreprises et associations souhaitant s’engager dans une démarche responsable, bientôt obligatoire dans le cadre des lois AGEC et EGALIM.”

Ce partenariat est complété dans un deuxième article intitulé “13 millions de gobelets réutilisables pour les J. O. 2024“.

Questionnements sur le développement du réemploi d’emballages

Les articles du mois de novembre évoquant ETERNITY Systems parlent surtout du rôle prépondérant que représente l’entreprise dans le développement du réemploi. Emballages Magazines consacre même l’entièreté de son article à ETERNITY Systems (concernant le lavage d’emballages industriels et commerciaux), au point même de qualifier dans son titre l’activité de l’entreprise comme “une longueur d’avance” . Ria se questionne lui sur le retour de la consigne d’emballage. Cependant, l’interrogation est centré sur le modèle économique à définir. Ria reprend les propos de Franck ANDRIEUX (responsable développement chez ETERNITY Systems) qui évoque le fait que “les clients demande d’investir dans des équipements de lavage avant d’avoir les volumes“.

Process Alimentaire dédie son article “Réemploi et recyclage : les pistes pour avancer” sur les enjeux de l’industrialisation du réemploi. Pour cela, le magazine rappelle la table ronde organisée le 12 octobre dernier aux Ateliers de l’Emballages, auxquelles Franck Andrieux avait partagé le micro avec Alexis DUSANTER, co-fondateur de Bocoloco et Lauriane DELAMARRE, cheffe de projet Vrac & Réemploi de Citeo. Il était notamment question de la standardisation des emballages. Le mensuel reprend l’argument cité par Franck : «La standardisation permet l’automatisation et des cadences plus importantes. Cela enlève une étape de tri en amont des lignes ».

Process Alimentaire cite ETERNITY Systems dans un 2e article, cette fois-ci dans les temps forts du salon Prod&Pack à Lyon, auquel nous étions présent en novembre denier. Eléonore BLONDEAU y avait évoqué l’activité d’ETERNITY Systems lors de la conférence “Des boucles vertueuses préfigurent les modèles de demain.

Dans son dernier article de novembre, Process Alimentaire évoque le consortium Buddie-Pack et ses recherche sur le déploiement de l’emballage plastique réemployables à l’échelle européennes. ETERNITY Systems est cité comme partenaire du consortium.

Les Echos reprennent les propos d’Eléonore BLONDEAU qui valorise le réemploi comme levier de l’économie circulaire. Pour elle, tout est une question de consensus : “pour casser les verrous et changer d’échelle, il faut mettre autour de la table les industriels, institutionnels, enseignants-chercheurs et autres experts du réemploi.”

Développement du lavage d’emballages en verre et de gobelets réemployables chez ETERNITY Systems

L’ADN relate dans son article le processus de consignes des bocaux de notre partenaire Bocoloco. L’article évoque la participation d’ETERNITY Systems comme prestataire de lavage des bocaux.  Vous pouvez par ailleurs retrouvez ce reportage sur le site de l’ADN.

Radio Canada annonce l’ouverture de notre nouveau centre de nettoyage de bouteilles en verre au Québec. Cette ouverture est en partenariat avec l’Association des microbrasseries du Québec. Nous vous invitons également à lire notre article dédié pour plus d’informations.

Je lis l'article

Revue de presse ETERNITY Systems (JUILLET – SEPTEMBRE 2023)

Coupe du monde de rugby, événements, lavage de contenants pour la restauration et la GMS : l’été n’était pas de tout repos pour ETERNITY Systems. Retrouvez l’ensemble des articles évoquant le groupe, parus dans les médias lors du 3e trimestre 2023.

ETERNITY Systems : pilier du réemploi de contenants destinés à la restauration et à l’agroalimentaire

Durant ce mois de juillet, ETERNITY Systems a attiré la convoitise de plusieurs médias, plus particulièrement concernant le lavage d’emballages destinés à la restauration et à la GMS . Dans son article paru le 1er juillet, Ria évoque l’inauguration de la ligne de lavage dédiée aux lavages de bacs gastronormes sur le site de Lisses pour l’activité CPS (Consumer Packaging Services).

Les Marchés Mag et réussir.fr se concentrent sur la volonté du groupe de s’implémenter dans le secteur agro-alimentaire en soulignant le lavage progressif de petits contenants en plastique, verre et inox (gobelets, bacs…) et leur standardisation. Les deux médias ont également dédié une colonne à la place de la RSE dans le fonctionnement des usines chez ETERNITY Systems.

Dans son article “Les centres de lavage industriel, nouveaux alliés de la restauration”, la Rpf Cuisine Pro voit en ETERNITY Systems un « partenaire [industriel] de choix » pour faire oublier les emballages à usage unique dans la restauration. Le trimestriel n’hésite pas à mettre en relief les prestations proposées par le groupe : « A Lisses, Eternity Systems est capable de laver contenants et emballages primaires tels que gobelets, pots, bocaux, barquettes, bacs gastronormes pour l’industrie agro-alimentaire, la restauration commerciale & collective et l’événementiel. »

ETERNITY Systems : prestataire privilégié pour le lavage de gobelets lors la Coupe du monde de rugby 2023

Pour le seul article du mois d’août, l’Indépendant se focalise sur la mise à disposition d’Ecocups Re-Uz (gobelets réemployables) dans les stades et fans zones lors de la dernière Coupe du monde de rugby. Après avoir évoqué l’histoire et l’utilisation des « Ecocups » dans divers évènements, le quotidien mentionne la fonction d’ETERNITY Systems à la toute fin de son article. Cette fonction est « dédiée au lavage de gros contenants, styles caisses et cageots, cagettes, la société permettra à Re-Uz [fabricant de contenants réemployables pour l’évènementiel et partenaire d’ETERNITY Systems] de développer le transport de ses produits et leur nettoyage industriel ».

Dans les faits, l’ensemble des gobelets Re-uz utilisés en Région Sud pour la Coupe du Monde de Rugby ont été lavé dans notre site situé à Cavaillon. Plus de 200 000 gobelets réutilisables sont passés dans notre machine dédiée. Une collaboration donc plus que réussie !

Cette dernière poursuivra son beau chemin. En effet, ETERNITY Systems et Re-Uz se sont déjà mis d’accord dans le cadre des Jeux Olympiques et Paralympiques – Paris 2024.

ETERNITY Systems invité aux Ateliers de l’emballage 2023

Le 28 septembre dernier, Process alimentaire.com a publié le programme de la 5e édition des Ateliers de l’Emballage, prévus le 12 octobre 20232 à Rennes.

ETERNITY Systems était convié pour discuter de la possibilité de développer le réemploi sur le territoire français. Notre directeur du développement Franck Andrieux partage son avis aux côtés d’Alexis Dusanter (CEO & co-fondateur de Bocoloco) et de Lauriane Delamarre (cheffe de projet Réemploi & Vrac, Citeo).

Revue de presse ETERNITY Systems (avril – juin 2023)

Le deuxième trimestre de l’année 2023 était riche en mouvement pour ETERNITY Systems. Dans cette revue de presse, retrouvez l’ensemble des articles évoquant l’actualité du groupe, parus dans les différents médias spécialisés de l’emballage et de l’industrie en générale.

ETERNITY Systems agrandit son site de lavage à Lisses (91)

Pour le mois d’avril, la presse s’est principalement focalisée sur le développement du site principal du groupe, situé à Lisses (Essonne 91). Dans son article du 7 avril dernier, Usine Nouvelle met l’accent sur l’équipement de trois nouvelles lignes pour les emballages industriels (palettes, bacs…) et d’une autre pour les contenants primaires (gobelets, pots…) ainsi que du montant investi pour la mise en place de ces infrastructures (1,2 millions d’euros).

De son côté, à travers son article « Le réemploi au bout du tunnel » Restauration 21 se concentre principalement sur l’agrandissement du site, consacré « au lavage de petits contenants de restauration » ainsi que sur les ambitions d’ETERNITY Systems pour les cinq années à venir, relatées par Eléonore Blondeau (Responsable Nouveaux Projets chez ETERNITY Systems), qui évoque une volonté d’étendre le « maillage régional à 5 ans ».

Afin de démocratiser le lavage industriel d’emballages réemployables, toutes les équipes ETERNITY Systems ont d’ailleurs eu le plaisir d’accueillir du 22 au 27 mai les premières portes ouvertes de l’entreprise. Avec plus de 200 visiteurs dont 6 rédactions, ce fut un vrai succès ! En savoir plus >>

ETERNITY Systems s’associe avec Re-uz

Pour ce mois de mai, un seul sujet attirait la convoitise de la presse spécialisée : l’annonce du partenariat avec l’entreprise Re-uz (fabricant de contenants réemployables). L’objectif commun : « conquérir le marché de la restauration collective française », comme le rapporte notamment l’Usine Nouvelle, le Journal des Entreprises ou la Semaine du Roussillon.

Resto-today, reussir.fr et l’Usine Nouvelle parlent même de « mutualisation de leur service/expertise » pour souligner leur ambition commune de garantir « une offre complète et innovante » et de normaliser l’utilisation de contenants réemployables. Pour illustrer cela, Reussir.fr cite les propos de Gildas BOUILLY (PDG d’ETERNITY Systems) qui y voit « un pas en avant significatif pour la restauration collective responsable » et affiche sa fierté « de contribuer à cette transition écologique et sociale du marché de la restauration, afin de faire un pas supplémentaire vers la généralisation du réemploi ».

Cette généralisation du réemploi d’emballages ne s’arrête pas là. En s’associant avec Re-uz, ETERNITY Systems entend saisir l’opportunité offerte le monde événementiel pour parvenir à ses fins. En effet Re-uz a été retenu comme l’acteur qui sera chargé de fournir l’ensemble des contenants alimentaires et de boissons pour la Coupe du Monde de Rugby 2023 ainsi que pour les JO2024, évoqué par Eléonore Blondeau dans Restauration 21.

ETERNITY Systems face au manque d’implication des grandes entreprises et des institutions pour le réemploi d’emballages

En se corrélant avec la loi fixée par l’état français concernant l’interdiction de la mise sur le marché d’emballages plastiques à usage unique d’ici 2040, ETERNITY Systems souhaite s’imposer comme un acteur important dans la généralisation des emballages et contenants réemployables. Toutefois, un obstacle se dresse sur ce chemin : certaines industries fournissent des efforts peu suffisants pour aller en ce sens.

Ce problème a fait naître une succession de débats auxquels notre responsable nouveaux projet a participé : le premier (Emballages plastiques : peut-on s’en passer ?) a eu lieu le 1er juin dernier à Paris. Animé par Fabienne Loiseau, journaliste Reporterre, ce débat avait pour principal sujet la place occupée par les emballages en plastique à usage unique et les alternatives proposés et l’étude de leur complémentarité dans certains cas d’usage comme celui de la santé par exemple.

Ce même quotidien reprend les propos d’Éléonore BLONDEAU dans son compte-rendu du débat Emballages plastiques : « Les industriels ne jouent pas le jeu » . Celle-ci dénonce le fait « que la législation existante ne soit pas appliquée correctement et qu’aucun accompagnement ne soit proposé avant d’éventuelles sanctions » de mettre en place les emballages réemployables, poussant ainsi des entreprises internationales à ne pas mettre les moyens nécessaires pour le réemploi.

Webinaire “Du recyclage vers le réemploi”

Notre Responsable Nouveaux Projets Éléonore BLONDEAU était présente lors du troisième webinaire “Du recyclage vers le réemploi” organisé par FitNESS 2.0 Project. L’occasion de présenter le fonctionnement d’ETERNITY Systems et surtout de montrer que le réemploi d’emballages existe depuis +30 ans, est viable écologiquement, économiquement et sanitairement à l’échelle mondiale.

Les règlementations ainsi que l’évolution des attentes des consommateurs poussent progressivement vers la voie du réemploi d’emballages, en remettant en question le système actuel de contenants à usage unique et à adopter des modèles plus durables. C’est ainsi que de nombreux pays ont déjà adopté des règlementations répondant à cette ambition. C’est le cas notamment de la loi française AGEC qui fixe des objectifs de réemploi de 10% des emballages d’ici 2027 ou bien de la VerpackG 2019, loi allemande qui stipule que les restaurants, bistrots et cafés proposant des plats et boissons à emporter devront utiliser des emballages réutilisables.

Le webinaire “Du recyclage vers le réemploi” réunissait 4 partenaires afin de faire le point sur les aspects règlementaires et les pratiques.

Qu’est-ce que le projet FitNESS 2.0 ?

Présenté par Gemma CORNUAU (Cheffe de Projets Européens chez ACTIA), le projet FitNESS 2.0 consiste en la création d’une plateforme e-learning en vue d’aider les professionnels de l’emballage à faire face aux risques environnementaux et sanitaires pour les consommateurs. L’objet de la création de cette plateforme est de proposer des formations générales et approfondies sur la conception d’emballages alimentaires responsables. La plateforme figure parmi la plus large plateforme e-learning dédiée à l’emballage alimentaire.

Le développement du projet a lieu sur 6 ans et se décompose en 2 phases. La 1re phase (2017-2020) s’appuyait sur 3 piliers fondamentaux :

      • Un contenu validé (qualité, exhaustivité et ouverture) couvrant tous les aspects essentiels de l’emballage alimentaire à trois niveaux (novice, élémentaire et avancé).
      • Un format de distribution open-source, qui peut être lu pour l’enseignement dans les salles de classe.
      • Un moteur de recherche adapté à l’enseignement mixte.

La seconde phase (2021-2024) a pour ambition d’atteindre un public plus large dans la chaine de valeur liée à l’emballage alimentaire. Gemma CORNUAU a notamment insisté sur la contribution à accélérer la transformation digitale des systèmes d’éducation et de formation. Pour cela, la seconde phase s’appuie sur 3 piliers :

      • Des certifications académiques et professionnelles que les universités sont encouragées à intégrer dans leurs cursus.
      • Le soutient du développement d’un contenu scientifique dans un format attrayant et innovant.
      • Le développement et la diffusion de FitNESS 2.0 au delà des universités et industries conventionnelles et la mise à disposition d’une assistance en ligne via un forum ou une IA.

Une installation progressive du réemploi en Europe

En deuxième partie du webinaire, Justin Boucher (Directeur des Opérations à la Food Packaging Forum Foundation) fait le point sur l’état des lieux des emballages réemployables, c’est-à-dire sur les règlementations liées à leurs usages (ainsi qu’à la suppression des emballages à usage unique) et les différentes pratiques/dispositifs mis en place au sein des pays de l’Europe.

Comme évoqué dans le chapô, les consommateurs ont également des attentes au niveau de l’emballage des produits. J. Boucher évoque que 2/3 des consommateurs y accordent une importance. Pour ces derniers, l’emballage de ces produits doit être composé de matériaux dit “eco-friendly”, respectueux de l’environnement et doit être en corrélation avec l’image de marque véhiculé par les fabricants.

Pour répondre à ces attentes, des réflexions sur des alternatives au plastique à usage unique se mettent petit à petit en place. Ainsi, il a été envisagé de remplacer les PUU par d’autres matières à usage unique (papier, métal ou verre à usage unique). Cependant, ces types d’emballages ne sont pas sans risques pour autant. En effet, Justin Boucher alerte sur les composants chimiques que possèdent ces emballages, présentant des potentiels risques pour la santé. Il rappelle également l’aspect de ces emballages restent avant tout des matériaux à usage unique. La courte durée de vie de ces emballages font qu’ils sont plus susceptibles d’être recyclés que réemployés.

Une deuxième alternative proposée aux problèmes engendrés par l’usage unique est de développer le recyclage. Cependant, J. Boucher évoque la difficulté à déployer le recyclage depuis plusieurs décennies. Seulement 10% des plastiques produits sont recyclés, malgré le fait que beaucoup d’emballages plastiques soient étiquetés “recyclables”. J. Boucher explique que la difficulté à recycler s’explique par le manque d’infrastructures disponibles ou le fait que certaines infrastructures soient surchargées.

J. Boucher parle également des discussions autour du recyclage mécanique et du recyclage chimique. Pour le premier type, recycler du métal ou du verre représente une sérieuse intensité énergétique alors que pour le second type, il n’a pas encore été prouvé qu’il était gage de viabilité et de flexibilité, surtout compte tenu de la grande quantité d’emballage plastique produite encore aujourd’hui.

Enfin, 3e alternative proposée est le ramassage d’emballages plastiques le long des plages. Cependant, Justin Boucher note que les efforts fournis par cette initiative n’empêche pas pour autant la pollution engendrée par la production de plastique.

Aujourd’hui, le développement du réemploi est due en grande partie aux diverses règlementations, industries et dispositifs mis en place sur tout le Vieux Continent. Au niveau industriel, parmi  l’Allemagne figure en tête de liste des pays contributeurs. Le pays est reconnu pour son système de réemploi de bouteilles en plastique et en verre. On assite également à un nombre croissant d’entreprises agissant pour le réemploi. C’est le cas d’ETERNITY Systems qui œuvre chaque jour pour laver divers emballages en plastique, en verre et en inox.

De plus, de grandes entreprises ont développer des systèmes de traçabilité des emballages, en vue du bon respect de la circulation des emballages. C’est le cas de Coca-Cola qui fournit des efforts pour attiendre 25% effort global pour atteindre 25 % d’emballages réemployables dans l’ensemble du portefeuille de marques d’ici 2030.

Outre l’Allemagne, d’autres pays européens ont mis en vigueur des lois visant à mettre en avant le réemploi. C’est le cas de l’Espagne qui oblige notamment les hôtels et restaurants à rendre l’eau du robinet gratuite, oblige les commerçants à remplir des contenants réemployables si un client le demande. La France a mis en place la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire (AGEC) qui stipule notamment la mise en place de vaisselle réutilisable dans les enseignes de restauration rapide depuis le 1er janvier 2023 ou l’interdiction aux centres médicaux pédiatriques de réchauffer les aliments destinés aux bébés dans des récipients en plastique d’ici janvier 2025.

R3PACK, acteur de la lutte contre l’usage du plastique dans l’emballage alimentaire

Représenté par Antoine Covillers, Directeur chez (RE)set, le projet R3Pack est un projet financé par l’Union Européenne. Comme indiqué explicitement dans son nom, ce projet se déroule sur 3 ans (de juin 2022 à juin 2025) et a pour principale vocation de supprimer l’emballage plastique des aliments. Concernant les produits alimentaires concernés, ces derniers sont très nombreux : jus, fromage, lait, salade préparée… bien que les requis soient différents d’un produit à un autre.

Pour éradiquer le plastique des emballages alimentaires, le projet s’appuie sur deux piliers :

  • Le remplacement du plastique par un matériau alternatif
  • Le réemploi

A. Covillers se concentre sur ce 2e point. Il rappelle que le réemploi n’est pas seulement une question d’emballage, il s’agit en réalité d’une réelle transformation globale.

Il souligne également que dans le marché du réemploi, il est important de collaborer avec ses partenaires, mais aussi…ses concurrents. Cela permet au réemploi d’être implémenté à l’échelle économique et environnementale. Pour cela, A. Covillers détaille 3 axes de travail sur lequel le projet R3Pack s’appuie :

  • L’emballage lui-même : avec les industriels, l’enjeu consiste à définir une standardisation des emballages réemployables. Ainsi, il est question de la forme, des matériaux, du volume… Le réel défi est d’aligner les industriels à un emballage commun tout en prenant en compte leurs contraintes. Il souligne aussi les notions de faisabilité et de sécurité alimentaire.
  • Le modèle opératoire : A. Covillers évoque les notions de traçabilité, d’optimisation des flux logistiques et d’interopérabilité
  • L’offre aux consommateurs : Ici, les enjeux se concentre sur la sélection des produits, l’expérience client en magasin et le comportement des clients.

ETERNITY SYSTEMS, acteur clé du réemploi en Europe

L’intervention d’Éléonore BLONDEAU, New Projects Manager chez ETERNITY Systems, portait sur l’aspect du lavage des emballages alimentaires réemployables, prenant en compte l’évaluation des risques liés aux matériaux en contact avec les aliments. L’occasion était idéale pour partager l’expertise et le savoir-faire d’ETERNITTY Systems.

Le lavage d’emballages suit un schéma circulaire précis, permettant de rallonger la durée de vie des emballages.

En effet, depuis 30 ans des acteurs appelés “poolers” détiennent un parc d’emballages réemployables dont ils s’assurent que le bon emballage soit au bon endroit, au bon moment afin d’éviter les ruptures d’approvisionnement.

Par exemple, IFCO leader mondial de pooling agroalimentaire va contractualiser avec un producteur de fruits&légumes, viande, poisson ou boulangerie, qui utilisera les caisses IFCO pour transporter sa production jusqu’aux plateformes logistiques des Distributeurs qui dispatcheront ensuite ces caisses vers leurs différents magasins qui les mettront directement en rayon. Une fois vides, ces caisses seront renvoyées par les magasins vers les plateformes logistiques puis ETERNITY Systems viendra les récupérer pour les emmener vers les centres de réemploi ETERNITY Systems où elles seront triées par référence et en fonction de leur intégrité, réparées si nécessaires, lavées, reconditionnées, stockées si nécessaires, puis renvoyées vers les producteurs pour une nouvelle boucle d’utilisation. C’est ce qu’on appelle le modèle “Washer-Pooler“.

Plus loin, elle met l’accent sur le processus de réutilisation d’eau utilisé pour laver l’ensemble des emballages réemployables. En effet, le processus d’automatisation et de standardisation de lavage des sites permet de réemployer 1L d’eau plus de 300 fois. Ainsi, cela permet d’atteindre jusqu’à +70% des besoins en eau des sites de réemploi.

L’hygiène et la qualité constitue un point important dans le processus de lavage des emballages réemployables. Ainsi, E. BLONDEAU rappelle que ETERNITY Systems œuvre au respect strict des normes d’hygiène comme témoigne les certifications obtenues (HACCP, ISO 9001 et ISO 45001). De plus, pour préserver la qualité et la sécurité alimentaire, ETERNITY Systems scinde son équipe de production en 3. Chacune d’elles se relayent dans la journée.  Des tests microbiologiques ATP et MIBI sont effectués quotidiennement en interne et des tests additionnels sont réalisés avec des laboratoires externes afin d’analyser les potentiels allergènes et pathogènes pouvant être présents dans les emballages et représentant des risques pour la santé d’autrui.

La question de la traçabilité est au cœur du bon fonctionnement de l’entreprise et du respect de la chaîne de valeur et de l’économie circulaire. E. BLONDEAU mentionne l’ERP utilisé par nos équipes pour permettre à chacun des acteurs de suivre le parcours des emballages en temps réel. Ainsi le Pooler sait en temps réel où en sont ses emballages : déchargement, réparation, lavage, rechargement.

Pour en savoir plus, nous vous invitons à vous rendre dans les rubriques “Qualité, Hygiène et Sécurité” et “Transport et Stockage

Pour regarder le webinaire complet (disponible en anglais uniquement), nous vous invitons à cliquer ci-dessous :

Je regarde

ETERNITY SYSTEMS, finaliste du Circular Challenge CITEO 2022

Paris, le 9 décembre 2022La soirée de sélection de la promotion 2023 se tenait pour la 2ème année consécutive au musée du Quai Branly – Jacques Chirac en présence de nombreux candidats inspirants. Pour l’occasion, ETETRNITY Systems figurait parmi les finalistes, et ce pour la première fois.

En réponse à un modèle économique source de gaspillage et de pollution, un modèle allongeant le cycle de vie des emballages émerge : l’économie circulaire.

Pour symboliser cela, la finale de la 6e édition du Circular Challenge Citeo s’est déroulée hier. Pour y figurer, la concurrence était rude, plus de 450 start-ups et entreprises ont déposé leur candidature. Représenté par Eléonore BLONDEAU, ETERNITY Systems a eu la chance de pouvoir présenter pendant 1m30, le savoir-faire et l’expertise de l’entreprise en termes de lavage d’emballages réemployables.

Cet évènement dépassait le simple stade de concours. En plus des interventions des candidats, 8 acteurs de l’économie circulaire était réunis autour de tables rondes ayant pour objet de « transformer et construire des modèles d’affaires circulaires » et « financer les innovations d’un futur circulaire ».

Une nomination symbole de la transformation de notre entreprise vers davantage d’open innovation

Malgré un discours plein de motivation et d’engouement, ETERNITY Systems n’a pas été retenu parmi les 8 lauréats. Nous tenons à adresser nos félicitations à Bocoloco et aux huit autres lauréats de ce prix. Nous soutenons leur développement et leur contribution à l’avancement de l’économie circulaire.

Mais l’essentiel était ailleurs, figurer parmi les finalistes de ce Challenge représente pour ETERNITY Systems une réelle reconnaissance parmi les acteurs clé du développement de l’économie circulaire. Comme l’a souligné Cécile SEMERIVA, directrice Innovation de CITEO : « Personne ne perd chez CITEO, on accompagne toujours les entrepreneurs que l’on rencontre. ».

Il s’agit également d’un élément moteur dans notre transformation, et ce à divers degrés (environnemental, industrielle et numérique).

Cette place de finaliste conforte notre envie de continuer à co-construire les normes et les process d’opération des boucles de réemploi d’emballages réemployables à l’échelle nationale grâce, notamment, à notre implication dans le projet REuse CITEO. Comme l’a souligné Eléonore BLONDEAU, « nous sommes prêts et avons besoin de vous pour développer le réemploi à grande échelle ».

Visionner le replay de la cérémonie en cliquant sur le bouton ci-dessous :

Je regarde la cérémonie

ETERNITY Systems : trois décennies d’histoire dans le lavage industriel et la réemployabilité des contenants

Depuis 30 ans, ETERNITY Systems développe une expertise en matière de lavage industriel et a en parallèle accompagné leur offre d’une solution logistique clé en main pour répondre aux exigences de leurs clients en matière de qualité, productivité et traçabilité.

En 2019, ETERNITY Systems a pris conscience qu’un tournant dans leur activité était en train de se produire avec le développement d’une économie circulaire au cœur de laquelle se trouve le réemploi des contenants et emballages primaires, secondaires et tertiaires, à travers toutes les filières industrielles.

ETERNITY Systems a donc opté pour une nouvelle orientation stratégique et a décidé de se lancer dans la course en 2020 afin de mettre à disposition de cette nouvelle économie, leur savoir-faire industriel en matière de lavage, logistique, traçabilité et automatisation.